La gastronomie marocaine est avant tout une cuisine méditerranéenne par excellence, qui, dans sa et sa délicatesse est probablement la deuxième destination gastronomique au monde.

En cela elle est intégrée par ses origines amazighe et arabe, du Maghreb, du Moyen-Orient, de la Méditerranée et de l’Afrique.

Résultat, on ne dénombre pas moins d’une dizaine de plats références au-delà des frontières marocaines, dont les plus emblématiques sont le couscous ou le tajine.

Le succès de la gastronomie marocainegastronomie marocaine, reconnue aujourd’hui comme l’une des meilleures au monde, tient dans sa faculté à marier les saveurs, les arômes et les épices. Un plat marocain, c’est une invitation pour tous les sens : de l’odorat à la vue en passant par le goût.

Lors de vos promenades dans les médinas, vous ne pourrez pas passer à côté des herboristes et des milles et une épices qui parfument leurs boutiques.

• Le curcuma : de couleur jaune, cette épice est un parfait antioxydant. Elle est également reconnue pour ses vertus digestives et permet de lutter contre les maux de ventre.

• Le poivre : nous le connaissons tous… mais est-ce que tout le monde sait que cette épice est un antalgique ?

• La vanille : présentée sous forme de gousse, elle accompagne souvent les desserts, parfois les poissons et possède des bienfaits apaisants contre les douleurs.

• La noix de muscade : Déjà râpée ou sous forme de petite noix, elle est délicieuse en plus de lutter contre le mal des transports.

• Le gingembre : célèbre aphrodisiaque, sachez qu’il réduit la sensation de soif et les nausées.

• Le piment : il permet de réguler l’insuline dans le sang et facilite la perte de poids.

• La citronnelle : on l’aime en tisane ou en salade… elle aide à nous détendre et à rester calme.

• La cannelle : on adore son petit goût qui accompagne parfaitement les salades de fruits. Elle soulage les problèmes de digestion et réduit les maux de ventre.

• La cardamone : Délicieuse avec les desserts au lait, la cardamone est considérée comme un anti-coup de blues.

La richesse du patrimoine culinaire marocain est présente tout au long des repas et se différencie parfois selon les régions, même si un certain nombre de plats apparaîtront sur toutes les cartes et menus du pays

LES PLATS TRANSVERSAUX

la salade méchouia , consommée de Tunis à Tanger, réaliser à base de tomates et de poivrons cuits, d’ail, d’huile d’olive et de jus de citron,

des salades d’olives (meslalla), de fenouil, parfois de carottes râpées parfumées au jus d’orange, de feggous (des petits concombres longs et fins), des purées d’aubergines ou encore de l’harissa

 

 

Ci  dessus quelques exemples de salade, de gauche à droite :

salade mixte restaurant #sindibad Chefchaouen ,

salade au thon restaurant #Sindibab Chefchaouen ,

salade niçoise et salade de la Kasbah  au Complexe #elKasbah de Taroudant, 

la salade façon mezze du restaurant #Tamrakcht à Marrakech , 

la salade la médina du restaurant #tabledelamedina à Marrakech,

la salade mixte en mezze au restaurant du #petitSocco à Tanger

Le Zaalouk du complexe El Kasbah Taroudant

Le Zaalouk du Restaurant LAMAALEM à OUJDA

 Pour patienter en attendant vos plats, on vous offrira probablement des olives, des carottes au cumin, des aubergines frites épicées ou encore des salades mixtes

 

LE COUSCOUS

Le couscous, traditionnellement servi le vendredi après la prière de dhuhr (de midi), mais qui se répand aujourd’hui tous les jours dans les restaurants. Le couscous marocain n’est pas très épicé. La semoule de blé ou d’orge est roulée par des mains expertes et cuite à la vapeur. Le couscous marocain est traditionnellement composé de courgettes, de tomates, de navets et de pois chiches. Accompagné de semoule de blé, il est généralement à base de viande d’agneau, de bœuf ou de poulet. Selon les régions, les recettes sont plus ou moins épicées.

 

Très utilisé dans les habitudes locales, le tajine. Un mode de cuisson ancestral le plus souvent sur feu de bois, qui mijote lentement des heures durant l’attente de l’amateur ! Rarement pimenté mais toujours épicé, parfois sucré, il est préparé à base de légumes et de poisson ou de viande. Le plat familial par excellence, mais également une tradition rurale. On mange à même le plat. Il est souvent à base de poisson sur le littoral marocain, au poulet et à l’agneau dans l’arrière-pays. Il existe de nombreuses variantes en fonction des régions : citrons confits, gingembre et cannelle, pruneaux, amandes et miel, etc.

Quelques exemples de tajines ci dessus en diaporama, dans l’ordre, le Tajine de boulettes aux œufs du #PetitSocco à Tanger, le tajine d’Espadon, celui au thon, le tajine de boeuf aux olives et le Tajine de Poulet au citron au restaurant #Beldin à Chefchaouen, le Tajine de Lotte au Restaurant #Doha à Nador, le tajine de Poulet aux légumes, le Tajine aux Keftas au Restaurant #Lamaalem à Oujda, le Tajine de Keftas aux œufs au Snack #sofia à Marrakech, et le même au Complexe de la Kasbah à Taroudant, le Tajine d’ombrine à Taghazout au restaurant #ElMadraba, un tajine de bœuf et celui de poissons à la marocaine, le tajine de crevettes réalisés au Riad La Porte de la Médina, le Tajine de poulet citrons et olives chez Bouchra à Temara, au poulet et oignons confits et celui à l’agneau et oignons confits du restaurant Twins Chefchaouen, de keftas aux oeufs (rest des #CascadesdAkchour Chefchaouen),  les tagines au poulet aux Amandes, au poulet citron confit et olives ou à l’agneau et aux pruneaux du restaurant #PatioBleu dans la médina de Fès

La pastilla, une tourte farcie avec des feuilles de briks aux amandes, traditionnellement farcie de pigeon est servie aujourd’hui avec d’autres ingrédients comme le poulet qui nécessitent moins de temps de préparation et n’obligent pas à la précommande. Elle est saupoudrée légèrement de sucre et de cannelle. Il faut aussi goûter la pastilla sucrée, au lait, aux amandes et à la fleur d’oranger.

Enfin, on peut recommander les brochettes grillées sur les braises. Préférez les endroits très fréquentés. Les keftas sont des brochettes ou boulettes de viande hachée épicée : d’agneau, de bœuf, de poulet et même de sardines assaisonnées à l’huile d’olive et que l’on achète en petites boîtes dans n’importe quelle épicerie.

Ci dessus dans l’ordre les brochettes de poulet du restaurant #PetitSocco à Tanger, brochettes mixtes ou de poulet au restaurant #sindibad,  le mixed grill libanais ou les brochettes de chameau du restaurant #Camels à agadir,  les brochettes de boeuf à la marocaine du restaurant #tamrakcht à Marrakech

Les accompagnements ne sont pas si nombreux. Mais les haricots, à la loubia (ci contre REST BELDIN BABSSOUR CHEFCHAOUEN) sont incontournables : Ce sont des haricots blancs secs, cuisinés avec plein d’épices ; curcuma, cumin, persil, coriandre, tomates, concentré de tomate, ail, huile d’olive

N’oublions pas les plats internationaux présents partout, comme les macaronis gratinés au poulet du restaurant #AlMaimouni à Tanger, le chawarma pizzas, les hamburgers, les tacos, hamburgers et pizza aux keftas et peperonni du restaurant #fratellini à Tanger , les Penne bolognaise et chawarma du restaurant du #CapSpartel à Tanger, les calamars frits du restaurant #twins à Chefchaouen, ou encore les pasticcio – une farandole de sauces et de viandes au choix, des frites et du fromage fondu et les tacos au poulet ou mixte (poulet et kefta) sur la place #UtaelHammam à Chefchaouen, les Spaghetiis aux tomates et au thon du restaurant #SINDIBAD à chefchaouen, les pizzas au poulet ou à la Kefta au restaurant des Cascades d’Akchour, le pasticcio de nuggets, le chawarma de poulet et le faux filet grillé du restaurant #Miami à #Alhoceima, les spaghettis à l’ail ou bolognaise, et les patatas bravas du restaurant #NieblaMarina à Al Hoceima, les pizzas au thon et double tacos du restaurant #tabledor à Nador, les escalopes milanises ou cordons bleus de l’hôtel restaurant #doha à Nador, le pasticcio mixte de poulet et viande hachée et les tagliatelles au poulet-pesto du Restaurant #bravoBeachClub de Saïdia, le Classico burger de la #grillardière de Meknès, la pizza à la charcuterie, les tagliatelles au saumon ou les cannellonis au poulet et au fromage et béchamel du complexe #ElKasbah à taroudant le saumon en croûte au restaurant #Camels d’Agadir, la pizza sicilienne (kefta fromage sauce tomate) et l’émincé de poulet à la crème et aux champignons du restaurant #Tamrakcht la pizza margarita du restaurant #cascado à Marrakech, etc…

En dessert, il vous sera difficile d’échapper aux différentes pâtisseries orientales (#latabledelamedina à Marrakech)

ou aux célèbres oranges à la cannelle, avec comme au #PatioBlu à Fes une variante avec des bananes

LA GASTRONOMIE MAROCAINE A TANGER

La gastronomie marocaine traditionnelle de Tanger consiste en couscous, tagines, brochettes de mouton entre autres plats.

Vous trouverez tous ces plats dans tous les restaurants et ne doutez pas de découvrir les saveurs de la région, riche en épices !

Ici la Harira est piquante et à base de tomates, de pois chiche, de farine dans laquelle on trouve quelques petits morceaux de viande : une promenade pour la digestion !

Vous verrez également dans la rue les gens en train de manger des brochettes. Des kebabs avec beaucoup de sortes de viande épicées mais aussi de poisson, l’espadon étant le plus consommé ici. Au point que les autorités doivent régulièrement réguler la pêche, les tangerois étant capable de pêcher sur un mois la moitié du quota annuel !

L’espadon est servi aussi grillé, avec de la salade et des frites comme au restaurant du Petit Socco à Tanger

Et même du Saint-Pierre, servi en filet avec un riz aux raisins blonds et une sauce rose aux crevettes et champignons, au restaurant du #capSpartel

Les crevettes, omniprésentes font partie de nombreux plats : en cassolette avec d’autres fruits de mer comme au restaurant #Fratellini, ou avec des tagliatelles – restaurant du Cap Spartel

La pastille (et non la pastilla) est faite avec de la viande de colombe, du riz,de l’œuf et recouvert d’une fine couche de caramel. Plat qui sort de l’original, mais qui est vraiment exquis et savoureux.

La baysara est aussi un plat incontournable de tout bon Tangérois. C’ est une soupe de pois cassés, très bon marché, servie dans les petits bouis-bouis, au café Hafa par exemple ou encore en mezze comme au restaurant #AlMaimouni dans la médina de Tanger

La harcha est une spécialité du Nord. C’est une galette de semoule de maïs que l’on peut manger sucrée ou salée. Assez difficile à faire, elle est vendue dans les marchés ou dans les malbana (des laiteries où on propose produits laitiers, sandwiches et jus frais). Elles peuvent se manger avec du fromage (le fameux fromage rouge, jbane d’bola) ou telles quelles.

Les abats -foie de veau, pieds de veau, tripes et tête de mouton – sont très prisés des Marocains, qui les consomment sous forme de brochettes.

Evidemment le couscous : Impossible de venir au Maroc sans manger au moins une fois un couscous maison ! Mais il s’agit alors de bien choisir son restaurant, en évitant ceux des hôtels qui, pour la plupart, ont une fâcheuse tendance à vous refiler des conserves. De nombreux restaurants marocains vous serviront les meilleures spécialités de couscous qui soient.

Sachez faire la distinction entre les différentes préparations : le couscous aux pois chiches et au poulet entier est le plat le plus familial, le couscous aux légumes est le pilier de la cuisine marocaine, le couscous aux raisins secs et aux oignons est le plus fin, la dchicha en couscous belboula est un plat d’hiver à base de semoule d’orge. Le couscous maasal, enfin, est le plat de réception par excellence.

Ici à Tanger, le couscous est traditionnellement servi avec des carottes, courgettes, navets, et potiron et accompagnés de raisins secs et d’oignons confits comme ci dontre au Restaurant el Maimouni

Le couscous au poulet est aussi servi parfois avec du chou, avec une compotée d’oignons rouge cumin et raisins et avec un petit bol de bouillon en accompagnement, comme au restaurant du Petit Socco à Tanger ici à droite

Le Tajine traditionnel tangérois est évidemment au poisson et plus précisément à l’espadon : Le poisson est mariné dans de l’huile du citron, du coriandre, du persil, des gousses d’ail, cumin et paprika et servi avec des carottes, poivrons, tomates, pommes de terre et olives violettes et quartiers de citrons confit, comme au restaurant Beldin ici à gauche. Vous trouverez ici également une variante du tajine de poulet aux olives, servi avec un confit d’oignons et de raisins secs blonds ; un régal sucré !

Le très classique tajine de keftas (boulettes) aux œufs à ici aussi sa variante très gouteuse : la sauce est faite avec de vraies tomates et les oeufs sont cassés dans la sauce très chaudes avec comme résultat très gustatif d’avoir encore les jaunes coulants… Un régal comme au restaurant du Petit Socco ci contre

GASTRONOMIE MAROCAINE DU RIF INTERIEUR : la cuisine chaouenie, d’Oujda et de Fès

Soit les recettes se référent à l’antiquité de la gastronomie marocaine, soit elles sont une novation ; la cuisine Chaouenie préserve toujours son secret de dégustation à base de sucre, de sel et de parfum enrichissant la saveur d’un plat offert à jour où à l’occasion : fêtes de l’Aide, Ramadan, mariage… etc La magie intervient à chaque phase des préparations par la main nue à l’aide des effets spéciaux que produisent les épices comme « Ras Elhannout, Assafran » , les huiles « l’huile d’olive » et les lipides « beurre / Smen » et le feu de charbon . Le four traditionnel sous direction d’un « Maalem » et son adjoint, fait partie impérative d’un très grand service préparatoire du pain et des plats quotidiens (Tajine), la pâtisserie et les fruits secs…

Parmi les spécialités locales de mezze citons la bakoula ou baqqoula, un plat populaire typique de Fès dont l »origine est autant juive, berbère qu’arabe. Il est préparé à base de feuilles de mauves (corète potagère (Corchorus olitorius L.) cuite à la vapeur avec l’ail, le persil et le coriandre avant les olives noires et le citron confit. On peut les cuisiner comme les épinards, mais aussi les ajouter dans la garbure pyrénéenne. Le tout est cuit une seconde fois dans de l’huile d’olive, à la marmite. C’est un plat épicé et relevé aussi, d’un aspect peu ragoutant au premier abord, si l’on dépasse le coté visuel, c’est un vrai bouquet de saveur orientale qui se développe en bouche, on l’appelle aussi « le plat qui ne finit jamais », car on a beau passer du pain dans l’assiette,… Ce plat est réputée riche en fer et très calorique. Vous le trouverez notamment au restaurant Lamaalem à Oujda

Ces plantes à fleurs de la famille des malvacées rassemblent plusieurs variétés, toutes comestibles, dont la rose trémière, qui se mange en entier, fleurs comprises ! On trouve la mauve sylvestre et la mauve des montagnes. On trouve aussi les mauves dans les prés riches et humides à partir du printemps, et jusqu’à l’automne.

La ghiyatia (ci contre à gauche au restaurant Lamaalem)  est une salade de tomates et de piments rouges grillés, très pimentée, d’origine de Taza et de Fès plus part iculièrement. Dans une casserole mettre de l’huile d’olive et les Piments sur feu doux. Ajouter le sel et l’ail et couvrir 10 min en remuant de temps a autre.. Ajouter les tomates le cumin et le paprika . Couvrir sur feu doux Laisser mijoter jusqu’à obtenir une sorte de sauce épaisse et servir

Les zaalouks font partie des spécialités du nord du Maroc et tout particulièrement de la région de Fès-Meknes. En dehors du zaalouk d’aubergines que nous avons déjà décrit, nous avons pu goûter ici un zaalouk de chou-fleur. Les chou fleur sont cuits à l’eau salée citronnée, puis écrasés à l’aide d’une fourchette puis poêlés avec l’huile les épices le persil haché et le citron confit.

Les épices principales sont la paprika, le cumin, le curcuma, les graines d’anis, la cannelle, le safran et la coriandre qui est l’un des ingrédients principaux de la gastronomie marocaine rifaine.

Enfin, le ras-el-hanout, également appelé de curry du Maroc, est un mélange d’épices qui diffère d’une région à une autre. Il est indispensable dans la préparation du tajine et parfois du couscous.

Vous trouverez aussi dans les souks des produits que nous consommons mais sous forme différente. Le fruit du câprier n’a pas la forme du câpre que vous trouvez en bocal en Europe. Il ressemble à une grosse noix de muscade à l’intérieur de laquelle se trouve les câpres. Ici l’ensemble est mis à séché et il est utilisé râpé !

Ici le couscous est préparé comme à Tanger mais le goût est malgré tout différent pour toutes les raisons évoquées ci dessus mais aussi et surtout parce que la région est réputée pour la qualité de ses légumes. La citrouille est ici bien plus sucrée par exemple.

 

Autre ajout, les pois chiche reprennent leur place dans l’assiette de couscous au dessus du confit d’oignons et de raisins blonds. Enfin, le ocuscous est servi ici avec l’harissa à part et un verre de lait fermenté (saykok) qui vient étouffer le piment.

 

 

A Fès le couscous royal est présenté sans légumes comme au restaurant #noria, dans le mallah (voir ci à gauche leur couscous royal à l’agneau et au poulet) et la semoule qui accompagne les brochettes de keftas dans le même restaurant est servie sucrée et avec de la cannelle (comme cela a été le cas toujours à Fès au restaurant le Patio Bleu)

On peut s’envoler avec les odeurs et les formes de présentation autour d’une table servie d’un plat principal décoré par les petites variétés de salades et de fruits… et quand vient l’heure manger ensemble mais avant, on se lave les mains chacun son tour et il faut rappeler le mot «Bésmillah » /Misère record Dieu avant de commencer.

 

 

Le plat traditionnel du Rif est un couscous fait avec des ingrédients typiques de la région, appelé également le Mesfouf Rifain. Plat à base de semoule, de feuilles de lavande, de viande et de légumes divers, il garde une grande signification religieuse et émotionnelle. De ce fait, il est souvent servis lors des mariages ou des célébrations.

 

Autre spécialité ayant une place privilégiée dans la culture culinaire du rif : le aghroum. C’est un pain qui peut être préparé avec de la farine ou de la semoule de blé, du maïs et de la levure. C’est un élément sacré de cette gastronomie marocaine régionale qu’il ne faut jamais jeter par respect des croyances.

Les habitants du Rif consomment beaucoup de viande de bœuf et de mouton qu’ils font bouillir ou rôtir. La viande est en général servie dans des petits tajines brûlants, sans accompagnement si ce n’est quelques olives comme partout sur le territoire marocain les brochettes sont présentes sur toutes les tables de restaurant, et tout particulièrement les mixed grill. Mais sur les tables de Meknes, en tout cas au restaurant #LaGrillardière, le mixed grill est composé non seulement des traditionnelles brochettes de poulet, d’agneau, côtelettes d’agneau mais aussi de saucisses de volaille, merguez aux herbes et saucisses de foie

 

 

Le poisson fait également partie des plats traditionnels même si les lieux de pêche sont éloignés. On retrouve ici les classiques tajines d’espadon (voir photo plus haut sur la gastronomie marocaine tangeroise), et même de thon rouge comme au restaurant #BeldinBabssour.

Mais ce sont les abats présents sur toutes les cartes qui peuvent parfois attirer la curiosité. comme sur cette carte ci dessous du Restaurant Beldin Babssour qui propose outre des tripes (callos en espagnol) mais également des pénis de boeuf en tajine (faire défiler les photos), de la cervelle, du foie….

Le tajine de cervelle d’agneau est une spécialité de la région : A noter que la cervelle d’agneau est riche en vitamine B. Elle contient également une quantité intéressante de vitamine B12, indispensable à la synthèse des globules rouges et au bon fonctionnement du système nerveux (100g de cervelle d’agneau couvre 100% des besoins journaliers de vitamine B12 de l’adulte). Alors pourquoi pas le préparer vous même ?

Verser le vinaigre dans l’eau chaude, y déposer les cervelles pendant 2 mn, les égoutter. Retirer la peau et les vaisseaux sanguins des cervelles.

Dans un récipient, mettre le concentré de tomates délayé dans un peu d’eau. Lui ajouter le persil et la coriandre hachés, l’ail, les épices, l’huile bien mélanger. Déposer dans cette sauce les cervelles. Les laisser mariner pendant 15 mn. Dans un tajine sur feu de charbon, disposer les cervelles et les arroser du jus de la marinade. Laisser cuire jusqu’à réduction de la sauce.

Servez les Cervelles d’agneau à la chermoula bien chauds.

Une des spécialités de la région de Fès et de Taza, est le tahal varcia – la rate de boeuf farcie. La farce est à base de graisse, de viande hachée, de mie de pain, d’ail, de persil, de piments de cayenne, cumin, paprika, sel et poivre. Certaines préparations ajoutent du foie, du cœur ou des rognons à la viande hachée. L’ensemble recousu est mis à cuire en cocotte 45mn. Refroidi, coupez ce gros boudin en tranches épaisses que l’on fait griller ensuite sur les braises ou au four

La gastronomie marocaine rifaine, cuisine de montagne par nature, s’est aussi largement inspirée des traditions berbères de l’atlas sud-marocain et il n’est pas rare de trouver comme au restaurant des #cascadesdAkchour du tajine de chèvre. La viande de chèvre, comparée à d’autres viandes comme l’agneau, est une viande maigre. Elle allège beaucoup ce tajine.

Lorsqu’on fait un tajine berbère, on se doit d’être généreux en légumes. On y met généralementxa0: pommes de terre, carottes, tomates, oignons,

A noter également que la Paella est un plat d’origine marocaine, spécialité de Tetouan au 12e siècle,. Lla recette est ensuite utilisée par les andalous. Le principe de ce plat nommé « Al Bakia » était d’utiliser les restes du garde à manger (riz viandes poissons légumes).

La chèvre est également présente dans les tajines de la région, initialement limitée à certains évènements mais aujourd’hui démocratisés

En effet, le thé à la menthe est devenu, au cours de l’histoire, l’empreinte même du pays.

LA GASTRONOMIE MAROCIANE DU RIF MEDITERRANEEN AL HOCEIMA NADOR MELILLA

Le « Zaalouk » est une recette populaire, à base d’aubergine frite ou grillée, de tomates d’ail et d’épices et que l’on mixe avec des poivrons épicés ou doux. « Zaalouk » est souvent servi en tant qu’entrée, surtout en hiver, où l’on préfère des entrées chaudes.

Il est connu dans certains pays du Moyen-Orient sous le nom de “Baba Ghanouj”, tout comme il est fortement présent dans les pays du Maghreb où de nombreux plats marocains sont connus, tels que le couscous dont la préparation et les ingrédients diffèrent d’un pays à l’autre.

Les Juifs préparent souvent « Zaalouk » pour leurs célébrations du Shabbat où l’on s’abstient d’allumer le feu durant le samedi. Ainsi, il est de coutume chez eux de consacrer le vendredi soir pour la préparation de plats simples pouvant être consommés froids. “Zaalouk” en est un. Mais les Marocains le considèrent comme une simple entrée et non pas comme un plat principal.

Le Zaalouk fait partie des plats régulièrement proposés dans le Nord du Maroc, plus particulièrement dans la région de Fès et sur la côte méditerranéenne; Il est même servi à Al Hoceima en accompagnement des grillades

À Al Hoceïma, la pêche est partout !

Tagines et grillades de poisson sont donc les plats à goûter absolument sur les tables de la ville.

Alors régalons nous, tout particulièrement sur le port au restaurant #NieblaMarina où le poisson est à l’honneur :

Avec les tagliatelles au saumon et à l’aneth, et bien sûr la paella, mais aussi le bar à la plancha, le pavé d’espadon, le tartare de saumon et d’avocats, les calamars frits, la lotte en sauce safranée, (photos ci dessous)

Concernant les herbes aromatiques, la lavande et le thym sont tous deux très répandus dans la région, notamment au sein de son parc national.

Côté gastronomie marocaine, le couscous rifain, préparé avec des potirons et un mélange de lait versé à même la semoule, est également un incontournable.

Le « Mesfouf » rifain, autre sorte de couscous, est préparé, quant à lui, avec des feuilles de lavande, de la viande et des légumes variés. Pour les Rifains, il garde une importante signification religieuse et émotionnelle. Il est d’ailleurs encore servi aujourd’hui lors des mariages ou des célébrations.

En période de Ramadan, les habitants aiment déguster la « Louzan », une soupe préparée à base d’orge et de lait. N’oubliez pas, lors de votre voyage, de déguster les « Roco d’Al Hoceïma », des beignets à base d’œufs, de farine et de jus d’orange saupoudrés de sucre glace.

Melilla mérite une visite non seulement pour son patrimoine architectural mais aussi pour sa gastronomie variée ; un mélange de saveurs et d’odeurs, inspiré de la cuisine méditerranéenne, européenne et africaine, résultat de la fusion des quatre cultures qui ont coexisté dans la ville au fil des années : chrétienne, juive, musulmane et hindoue.

Dégustez de délicieuses tapas à un prix abordable, composées principalement de fruits de mer, comme des calamars, du poisson frit ou des crevettes. La particularité ici aussi, est que les tapas sont offerts avec la boisson. C’est le cas notamment au bar #TuConmigal.

Certains de ses plats traditionnels sont la pastela , une sorte de pâté à la viande à base de poulet, de sucre glace et de cannelle ; tourte de poisson avec lotte, marlin, gambas et langoustines ; tortilla de colores , un mélange de légumes et d’œufs, et couscous sucré . Le tout accompagné d’un délicieux thé vert à la menthe , une boisson traditionnelle berbère à la saveur exquise.

Quant à Nador, vous y trouverez les plats traditionnels marocains et toutes spécialités rifaines de la mer, à commencer par les crevettes. Savez vous qu’une crevette à des portées de plus de 25000 oeufs ?

Alors faites vous plaisir ici avec les traditionnels plats de poissons de l’Hôtel Restaurant #Doha à Nador : une belle vitrine de poissons, des tajines de lotte, des salades fruits de mer frais, ou encore des croquettes de poisson !

Les tagines de poisson sont légion également et leur succès va bien au delà de la bande côtière. A Oujda, le tajine de requin blanc est servi en chermoula, comme au restaurant #Lamaalem;Les poissons sont extrêmement frais malgré l’éloignement de la côte, et arrivent entier sur les étals où ils sont découpés

 LA GASTRONOMIE MAROCAINE MARRAKCHIE

La cuisine de Marrakech est réputée comme la meilleure du continent africain… Pas étonnant quand on connait la qualité et la diversité des produits du terroir : à nous les petites olives vertes, la harissa verte ou rouge, les dattes sucrées et le safran rouge !

Elle se prête en vérité aussi bien à la street-food avec les célèbres stands de la place Jemaâ-El-Fna le soir, qu’à la haute gastronomie étoilée avec des chefs renommés.

Les sols de la région de Marrakech sont riches et baignés de soleil. Une promenade aux alentours de la ville rouge vous permet de profiter d’une végétation splendide dans laquelle s’épanouissent les oliviers C’est dans ce cadre naturel et fertile que poussent plusieurs sortes d’olives : les Picholines, les Beldis et les Arbequinas.

Ces olives ramassées chaque année permettent au domaine Arije, à 20 km de Marrakech de produire quatre variétés d’huile d’olive vierge extra dont la Picholine au goût reconnu internationalement.

Depuis 2012, cette huile d’olive enchaîne les trophées et les succès : Médaille d’Or en 2012 aux Etats-Unis pendant le Los Angeles International Extra Virgin Olive Oil Competition, 1er prix en Italie lors de la Compétition Internationale de Montiferru en 2013 ou encore, plus récemment en 2015, 1er prix au Salon international de l’Agriculture au Maroc !

Il semblerait quand même que c’est le traitement des fruits dans un court délai après la cueillette et le recours à du matériel de technologie de pointe qui permet d’obtenir cet arôme si subtil !

La Tangia est un plat purement Marrakchi, facile à préparer, avec un gout absolument délicieux, Il est préparé avec du jarret , mariné avec le safran, la beurre salé et l’huile d’olive. Le tout est mariné dans « la Tangia », qui sera cuite d’une manière très spéciale dans un Four Traditionnel.

Deux histoires se racontent au sujet de son origine.

La plus populaire veut qu’elle ait été créée par des ouvriers qui, n’ayant pas le temps de rentrer chez eux pour manger, prenaient tous les ingrédients qu’ils trouvaient, viandes, épices, légumes, les mettaient dans une jarre qu’ils laissaient ensuite chauffer jusqu’au lendemain au hammam voisin.

Aujourd’hui, il s’agit d’un plat de viandes et d’épices cuit de longues heures dans une jarre en terre cuite et servit dans de nombreux restaurants marrakchis comme au restaurant #TheMoorish dans la médina

La Seffa, une autre spécialité marocaine, salée et sucrée, à base de vermicelles et de poulet, et amandes, est un plat extrêmement gourmand avec une magnifique texture.

Ce plat est très présent dans les festivités marocaines, telles que les fêtes mariages, les baptêmes ou les événements de familles… Le Seffa se sert souvent entre le plat principal et le dessert.

Un service impeccable et une carte complète qui convient à toutes les envies avec même des spécialités marocaines que l’on ne trouve que rarement ailleurs comme le hamburger de chameau ou encore la tanjia de dromadaire. (voir photos ci dessous)

La Hargma est un plat marocain à base des pieds de mouton ou de bœuf et des pois chiche, souvent préparés pendant la fête du AID al Adha : un plat très gourmand et chaleureux qui présente un choix idéal pour confronter le froid des nuits hivernales.

Vous verrez également de nombreuses cuves de soupe d’escargots en train de cuire à la vapeur lorsque vous vous promènerez dans la médina. Les escargots sont cuits lentement à feu doux dans un bouillon poivré (#babbouche) composé de plus de 15 épices différentes. C’est un mets délicat qui vous surprendra, une véritable spécialité de Marrakech.

La particularité est certainement que les escargots sont cuits dans leur coquille. Alros que chez nous ils sont retirés de leur coquille, coupés puis cuits avant de nous être proposés en boite ou sous-vide. Puis recoquillés avant de passer au four. Ici l’escargot est donc entier : vous distinguez sur la photo ses cornes. Son corps est semblable à celui d’un bulot qui remplit donc pleinement la coquille spiralée

La Chebakia, spécialité de la ville de Marrakech

Cette spécialité de Marrakech sucrée est faite de bandes de pâte qui ont été roulées, tordues et pliées en forme de fleur, frites, puis généreusement enrobées de sirop ou de miel, ainsi que de graines de sésame. Cette délicieuse friandise est particulièrement appréciée pendant le Ramadan, mais on la trouve partout en ville à tout moment de l’année.

Le Msemen est Incontournable : c’est une spécialité culinaire de Marrakech prenant la forme d’un pain plat marocain fabriqué à partir d’une pâte pétrie et étagée, qui est chauffée pour former un pain extensible ressemblant à une crêpe qui se marie parfaitement avec du beurre, de la confiture ou une tasse de thé à la menthe.

Il est généralement consommé au petit-déjeuner et peut être trouvé dans les boulangeries et les stands de nourriture tout autour de Marrakech.

Vous pourrez déguster ces délicieuses spécialités à tous les coins de rues de la ville : de la petite échoppe de la médina au restaurant chic de Guéliz !

EN GUISE D’ACCUEIL

Sur la table, en guise d’accueil vous trouverez un peu partout des olives saumurées, des carottes cuites à la cannelle et à l’orange et piementées comme au restaurant #Cascado à Marrakech ou encore des petits pains marocains bien chauds à tremper dans l’huile d’olive (voir RESTAURANT LA MAISON ARABE )

LES ENTREES

Parmi les plats proposées en entrée, vous ne pourrez rater les briouates kefta , ou végétariens, ou fruits de mer. Nombreux restaurants proposent en entrée un mix varié de briouates comme au restaurant #Montassir sur la place Jemaa El fna, ou encore au restaurant #Tamrakcht de Marrakech ( avec des briouates variés dont aux fruits de mer)

De nombreuses salades sont servies également en entrée comme à la TERRASSE DE LA MEDERSA : des petits assortiments de salades marocaines, des ZAALOUK (aubergine), des salades maison (légumes et fruits, en général oranges et parfois avec thon œufs dur – LE RELAIS DU LAC), ou salade variée (salade verte concombre pommes de terre et carottes), salades berbères (tomate – oignon huile d’olive).

Plus roboratif la pastilla au poulet, sachant que la vraie pastilla est au pigeon mais qu’il vous faudra probablement la réserver à l’avance. La pastilla au pigeon est un feuilleté avec oignons, persil, pigeon, coriandre, œufs durs et amandes, parfumé à la cannelle

Nous avons testé la pastilla aux fruits de mer dans la médina au RESTAURANT VOTRE TABLE, dans un cadre très cosy

N’oublions pas également la délicieuse HARIRA, une soupe qui utilise souvent les restes de viande coupés en petit morceaux, de la coriandre fraiche, des pois chiche , du citron, tomates et légumes. Nous avons particulièrement appréciée celle du CAFE ARABE dans la médina mais aussi celle du restaurant #tamrakcht servie avec des dattes

LES PLATS

Evidemment en tête des plats réputés mondialement vient le couscous. Mais nous devrions dire en fait : les couscous tant il en existe de variétés et de manière différentes de le préparer, à commencer par la semoule. On les trouve végétariens, au poulet, à la viande, royal. Celui de l’HOTEL-RYAD RESTAURANT ART PLACE est particulièrement riche en viandes et délicieux

Un peu en retrait de la place Jemaa El Fna, cet hotel / Ryad cache un restaurant de qualité qui dispose de salle climatisée mais aussi de deux terrasses avec brumisateur offrant une belle vue sur la place Un excellent couscous très bien servi, et un service attentionné comble le tout !

Toujours aux abords de la place le Restaurant #chezChegrouni propose des couscous à 70 MAD, comme le couscous de poulet aux légumes. Simple, bon, pas cher

 

Toujours sur la place, le restaurant #Montassir offre un choix varié de couscous, tous le sjours de la semaine et pas seulement le vendredi comme certains. Ce restaurant offre aussi une belle vue sur la place. Dommage, si les plats sont très bons, ils sont servis un peu froid et cela nécessite un retour en cuisine. Donc difficile de manger ensemble en famille…animation en soirée. Ci dessous quelques photos de 2023

Que vous trouverez déclinés à la façon berbère avec des légumes (TERRASSE DE LA MEDERSA) aux amandes et aux pruneaux, aux abricots secs et à la cannelle ou encore aux figues et noix (photo ci contre TERRASSE DE LA MEDERSA)

Mais vous trouverez aisément et régulièrement les tajines de kefta (viande hachée œufs et tomates), de poulet (au citron confit et olives vertes comme au RESTAURANT VOTRE TABLE ou simplement aux olives) ou aussi végétarien, ou encore à l’agneau (le plus souvent aux petit pois)

N’oublions pas les brochettes et les grillades : de poulet à la plancha (LE RELAIS DU LAC), des pilons de poulet grillés et des mixed grill

Au restaurant #ChezChegrouni, sur la place Jemaa El Fna , les brochettes de poulet sont particulièrement bien servies. Un restaurant qui offre de plus une très jolie perspective sur la place

Moins connue la Tanjia est un plat traditionnel Marrakchi composé à base de jarrets, de citrons confits, de nombreuses épices (cumin, raz El Hanout, curcuma, safran de l’Ourika et cuit très lentement et longuement sur feu de bois dans une jarre en terre cuite bouchée. Un délice au restaurant the Moorish dans la médina !

Pour la déguster nous avons choisi le RESTAURANT LA MAISON ARABE au cœur de la médina, un restaurant dans un cadre magnifique, avec piscine et à des prix très abordables ! (Consultez la carte, l’addition et nos photos en cliquant sur le lien) , et dernièrement #TheMoorish qui dispose d’une belle terrasse en rooftop et une cuisine plutôt orientée par ailleurs sur la gastronomie marocaine végétarienne

A ne pas confondre avec le CAFE ARABE dans la médina également; Un bon restaurant italien et arabe qui joue sur les deux cartes avec réussite. Les brushettas tomates sont excellentes tout comme les lasagnes

Côté arabe un sans faute pour la harira servie avec dattes et pâtisserie au miel et le tajine kefta aux œufs très bien servi; Servent de l’alcool ce qui n’est pas si courant dans la médina ; Prix moyen mais reste correct

Le poisson n’est pas en reste !

Il est souvent présenté en tajine comme le tajine de lotte chermoula du RESTAURANT VOTRE TABLE

Mais vous trouverez aussi de la lotte en filets à la plancha comme au LE RELAIS DU LAC

LES PLATS INTERNATIONAUX

Les enseignes de Fast food sont légion, mais nous trouvons également de nombreux restaurants italiens, espagnols, indiens, thaï, en particulier dans le secteur de la ville nouvelle GUELIZ.

Mais les restaurants de la médina offre une carte variée qui dépasse souvent les grands classiques évoqués plus haut.

Notons par exemple la carte de #TheMoorish, qui propose (photos précédemment) d’excellents plats végétariens comme le hamburger Moorish, un burger avec une délicieuse mozzarella, croustillante à l’extérieur, et crémeuse à l’intérieur, cuite avec perfection et servie avec des frites, mais aussi d’autres plats non végétariens comme le Burger Classic, avec du bœuf haché maison, juteux, avec de la coriandre du fromage et des tomates, ou encore le Panini au poulet , sans oublier la tanjia marrakchi à la cuisson lente composée de tendres morceaux de bœuf, d’épices et d’herbes

Une mention particulière pour le RESTAURANT LA MAISON ARABE à nouveau, qui propose à la carte une SALADE CESAR très gouteuse et bien servie !

Dans Guéliz vous trouverez également de nombreux restaurants qui font l’impasse sur la cuisine marociane pour proposer une cuisine essentillement internationale, souvent inspiré par la cuisine française

L’un de nos préféré est probablement le RESTAURANT LE LOFT – GUELIZ

Une adresse tenue par un français et la carte s’en ressent. Ici pas de spécialités marocaines mais des plats bien de chez nous revisités à peine à la sauce marocaine !

En entrée on parle bien français : salade de lentilles à la parisienne, os à moelle fleur de sel de l’Atlas, etc..

Et en plat du foie de veau persillé, du tartare de Charolais , du carpaccio de veau, une excellente souris d’agneau cuite 7 heures,…

Un vrai régal pour les papilles et pour les yeux

Evidemment les prix sont plus élevés, mais notons le menu entrée plat ou plat dessert à 140 MAD seulement en semaine, hors jours fériés

Parmi les propositions de ce menu à 140 MAD, notons entrée les Escargots de l’Atlas, la sale de pousses d’épinards et foie de volaille, les os à moelle ou encore en plat le carpaccio de bœuf au pesto de basilic, la salade océane ou le cordon-bleu, sans oublier en dessert l’ile flottante !

RESTAURANT MAMMA MIA – GUELIZ MARRAKECH

Le Mamma Mia comme le loft fait partie des restaurant de Guéliz à ne pas manquer. 

A la carte des spécialités italiennes bien sûr comme du foie à la vénitienne, des escalopes milanaises des rizottos et bien sûr des pâtes et des pizzas

Nous avons testé les pizzas Reine (avec du jambon), Enrico (chorizo poivrons tomates mozzarella), orientale (avec de la merguez), Enzo (tomates mozza poulet champignons) mais aussi la Pizza Luna au nutella !

Le carpaccio est également très bien servi

#mammamia

Toujours à Guéliz, le restaurant Bagatelle a été fondé par Helene Collomb qui arrive au Maroc en 1912 et crée le restaurant en 1949 Puis, pendant plus de 40 ans, son fils Claude & son épouse Lucette ont pris le relais. Depuis 2003, la 3ème géneration perpétue les traditions la maison. Le restaurant Bagatelle reste fidele aux recettes de Grand-Mère, en gardant tout son esprit familial Résultat, vous trouverez à la carte de superbes huîtres de Daklha, une salade CESAR copieusement servie, un émincé de boeuf aux champignons, des lasagnes bolognaises , des rognons sauce « Marchand de vin » sans oublier en amuse-gueule des haricots blancs en perssillade crémée

#bagatelle

Mais vous trouverez aussi de la lotte en filets à la plancha comme au LE RELAIS DU LAC

LES PETITES ADRESSES A MOINS DE 100 MAD

Et elles sont nombreuses ! A l’intérieur de la médina comme à l’extérieur, dans Guéliz ou ailleurs, vous trouverez partout de quoi vous restaurer à petit prix : des paninis à moins de 30 MAD, des tacos à moins de 40 MAD,hamburgers entre 25 à 40 MAD et même des tajines aux environs de 40 MAD, voilà de quoi vous rassasier pour moins de 10 €. Mais est ce bon ?

Nous avons testé pour vous quelques adresses de ce type, qui offrent aussi l’avantage de livrer gratuitement à domicile.

Pour l’exemple le SNACK SOFIA, où pour 115 MAD (prix 2023) vous avez deux salades marocaines, une pizza et des brochettes mixtes, soit moins de 5 € par personnes !

Ci dessous, un diaproma de quelques-uns de leurs plats : dans l’ordre le tagine de keftas aux oeufs, la pizza reine (fromage tomate jambon de dinde), gratin de macaronis au poulet, tacos mixte poulet viande.

De l’autre côté des remparts, dans la médina près du musée de la photographie vous serez attirés certainement par l’entrée de la TERRASSE DE LA MEDERSA près de la médersa BEN YOUSSEF. Une carte simple et efficace et vous mangerez par exemple des salades mixtes marocaine à 45 MAD, un excellent Tajine berbère (boeuf et légumes) à 80 MAD, ou encore un tajine de bœuf figues et noix à 80 MAD, soit pour 2, 220 MAD avec une OULMES à 15 MAD! Soit 20.50 € pour 2

Attention, pas de boissons alcoolisées, évidemment

Dans le même secteur le CAFE RESTAURANT MARHABA : une salade avocat poulet, une salade marocaine, un tajine de bœuf et une pizza pour 150 MAD soit moins de 14 € !

Bon reconnaissons qu’il faut aimer comme moi ronger les os d’un bœuf bien gras

Mais pour le prix c’es très correct

LA GASTRONOMIE MAROCAINE DU SOUSS MASSA

Chaque ville est généralement connue pour son art culinaire. Nombreuses sont les spécialités culinaires d’Agadir : le thé à la menthe, le couscous Bidawi accompagnés de légumes ou encore le couscous royal servi avec de la viande, et. le tajine de viande aux pruneaux.

Par ailleurs, le lait, les dattes et les pains constitue la nourriture de base des habitants d’Agadir.

Quant aux pâtisseries, elles sont habituellement à base du miel, d’amandes et de pistaches… Ainsi, les Marocains ont toutes les raisons d’être fiers de leur cuisine grâce à la diversité de ses menus. Les saveurs du tajine Berbère trouvent leurs racines dans les montagnes de l’Atlas. Chaque famille a sa propre recette magique, viande ou poisson accompagné de légumes ou de fruits secs…Les soussi profitent des nombreux produits offerts par leur terroir pour faire varier les goûts.

Le tajine de keftas aux oeufs est ici servi avec des légumes (poivrons, piments) et plusieurs oeufs : tèrs agréable autant à la vue qu’au goût !

Le tajine de veau est généreusement servi avec des légumes ou encore avec des pruneaux et des amandes. Un régal de goût sucré comme au bar-restaurant #jnanesoussia à Taroudant

La viande de chèvre est également utilisée pour agrémenter et varir les tajines; Cette viande qui nécessite d’utiliser ses doigts, est faible en matière grasse. elle s’accmode volontiers avec des oignons confits et des pruneaux comme au #complexedelakasbah à Taroudant De même, ici la Tanjia utilise le veau comme ingrédient principal, en conservant le mode de cuisson traditionnel Marrakchi. Elle est copieuse et incorpore des os à moelle en quantité, donnant à la tanjia un goût très particulier Le couscous lui est le plat national et accompagne tous les grands événements. Il est l’un des plats emblématique de la gastronomie Amazigh. Ce plat qui est à la base de semoule de blé dur est servi le plus souvent avec un ragoût de légumes accompagné de viande. Le couscous de la région du Souss est très varié en terme de légumes servis. Il s’agit entre autre de carottes, courges, navets, courgettes, aubergine et bien d’autres.

Le Baddaz est une variante du couscous, préparée à base d’une semoule de maïs. On le trouve au poulet, à la viande ou même au poisson et vous sentirez le goût de l’huile d’argan Couscous traditionnel aux sept légumes : concocté à base de viande ou de poulet, carottes, navets, une tranche de citrouille, courgettes, aubergines, oignons et une branche de céleri, huile et épices.;

Les brochettes sont bien entendu aussi sur tous les menus. Brochettes de keftas, brochettes mixtes, brochettesd ‘ageau lais aussi brochettes de veau dans le filet comme au café-restaurant #jnanesoussia, un complexe par ailleurs très agréable qui propose également une très belle piscine, du billard.

La viande de chameau est aussi largement consommée dans cette région, et plus encore en descendant vers le sud et la Mauritanie

Elle est consommée généralement en tajine ou encore en brchettes comme au restaurant #Camels d’Agadir

Dans le désert, où il peut être difficile, voire impossible, d’élever le bovin, la chamelle produit un lait de qualité utilisépar les communautés qui y vivent.

La graisse de la bosse, mais aussi le foie sont des mets très prisés. Les croyances berbères leur prête des valeurs de guérison

Nous trouvons également à imouzzer des Ida Outanane, des spécialités très locales, que nous n’avons trouvé nulle part ailleurs. C’est le cas du khlii d’abats au poulet et aux oeufs. Des abats cuisinés en tajine dans beaucoup d’hule. Un oeuf est ajouté à la dernière minute qui doit être mélangé vivement aussitôt. Un régal à déguster avce du pain bien entendu ! Le #restaurantdescascades à Imoouzzer propoe également d’autres plats très bien réalisés comme le tajine d’ombrine, ou encore le pulet aux amandes et miel, la salade de foies de volaille, etc…

Le Berkouks est plat traditionnel amazigh, préparé à base de pâtes faites à base de semoule de blé dur. Le plat est servi avec le traditionnel Amlou

Bien sûr, la proximité de l’Atlantique enrichit les menus de nombreux plats de poissons. C’est le cas à l’auberge #amazighen à Tamri, sur la côte atlantique où vous pourrez déguster des langoustes, des crevettes, de la dorade mais aussi du Sar en Tajine. Le SAR est un poisson de mer qui vit et se reproduit près des côtes. Le terme SAR désigne plusieurs espèces de poissons de bonne qualité gustative. Au Maroc, il fait référence, en premier lieu, au Sar Commun شرغو. Ce poisson constitue une bonne source de vitamines du groupe B, notamment B12. L’auberge propose bien entendu d’autres produits (photos ci dessous)

C’est un délicieux mélange d’amandes grillées, de miel naturel, d’huile d’argan qui a une texture similaire au beurre de cacahuète ou à la pâte de praliné. Traditionnellement, Amlou est servi au petit-déjeuner ou à l’heure du thé de l’après-midi à tartiner sur du pain frais fait maison, sur des crêpes Baghrir, Msemen, Bouchar ou Mkhanfar il accompagne aussi toutes sortes de pâtisseries.

Amlou, la pâte à tartiner berbère est un allié santé par excellence, c’est une véritable bombe énergétique riche en vitamines E, antioxydants, oméga 9 et 6 et protéines avec ce miel pure d’oranger qui compte une foule de bienfaits et propriétés curatives. Mais aussi avec ces amandes torréfiées à point qui enveloppent des vertus nutritives incroyables. Enfin l’huile d’argan riche en antioxydants, elle stabilise l’hypercholestérolémie, stimule les cellules cérébrales et favorise le bon fonctionnement du foie. Aussi elle Réduit les risques d’hypertension artérielle. L’huile d’argan contient 2 fois plus de vitamine E que l’huile d’olive.

Traditionnellement, Amlou est plus liquide et n’a pas la consistance «pâteuse». Dans les régions berbères les amandes sont réduites en une poudre fine et lisse à l’aide d’un ancien moulin appelé Arhaa. Ce processus de broyage produit une pâte d’amande douce et lisse. Un robot culinaire ou un moulin électrique fera bien le travail, mais ne remplace pas le vieux moulin broyeur.

Le petit déjeuner est aussi l’occasion de goûter d’autres cakes, ou encore des harchas à la semoule dont voici une recette beldi

Diluer la levure boulangère dans le lait et incorporer tous les ingrédients à la semoule en mélangeant rapidement sans travailler la pâte.

La pâte obtenue est liquide, la couvrir et la laisser lever pendant 1 h.

Chauffer une poêle à fond épais, la saupoudrer de semoule puis prélever une petite louche de pâte de semoule, la verser dans la poêle et l’étaler légèrement.

L

aisser cuire la galette environ 2 mn avant de la retourner à l’aide d’une spatule. Une fois cuite et dorée, retirer la galette de la poêle.

Essuyer la poêle et recommencer jusqu’à épuisement de la pâte.

Servir les Harchas accompagnées de miel.

Le pain Tafernout est le pain quotidien du Souss Massa . Le pain tafernout est servi avec les tagines et on le mange aussi trempé dans de l’huile d’argane, de l’huile d’olive et différentes sortes de miel ou amlou. Sans oublier le thé à la menthe bien sûr, moins sucré mais qui accompagnera délicieusement vos pâtisseries orientales comme au Complexe #ElKasbah à Taroudant

Agadir offre quelques spécialités culinaires comme les escargots au thym, les tajines de lièvre ou de maquereau, le couscous au poisson et à la semoule de maïs. La région est aussi celle de l’arganier. Ce sont ses noyaux broyés qui donnent l’huile d’Argan dont les vertus diététiques lui valent d’être très utilisée dans la gastronomie marocaine locale.

Côté poisson donc, façade atlantique oblige, vous ne serez pas déçu. Les sardines sont pléthores, n’oublions pas qu’Agadir est le premier port sardinier au monde. Mais vous trouverez aussi de nombreux autres poissons comme l’ombrine que vous dégusterez en Tajine ou en brochettes comme au restaurant #ElMardaba à Taghezout (photos ci dessous)

Le safran est utilisé pour toutes sortes de plats mais aussi en boisson comme le thé au safran

A l’#aubergedusafran à Taliouine nous avons pu déguster des salades de tomates avec o sans thon à la vinaigrette de safran, une omelette soufflée au safran à la berbère, ou encore du riz safrané pour accompagner une grillade, sans oublier le tajine de keftas aux œufs et au safran.

LA GASTRONOMIE MAROCAINE DU DRAA TAFILALET

Voici quelques plats célèbres que vous trouverez dans la province :

Couscous aux sept légumes : Décliné sous diverses formes, le couscous aux sept légumes (navet, carotte, potiron, courgette, oignons, tomates et choux verts) est le plus connu au Maroc. Préparé pour célébrer Yennayer, le nouvel an berbère, ce plat symbolise également la rencontre et les retrouvailles. Traditionnellement servi chaque vendredi, c’est aussi le plat des festivités de mariage, circoncision, décès, offrandes… que vous retrouverez partout dans les restaurants de la région. Mais rien de tel que de le déguster chez l’habitant. et le couscous chez notre ami Aziz, est probablement le meilleur de la région !

Tajine de poulet au citron : La aussi un grand classique de la cuisine marocaine, le tajine de poulet aux citrons confits et aux olives est servi très souvent dans le Sud du Royaume. Ce plat familial très simple est à la fois économique et délicieux. Il est préparé au moins une fois par semaine dans chaque foyer. Il peut être parfois accompagné d’œuf comme chez Aziz ou traditionnellement comme chez Djamal à l’oasis de Fint

La Tchicha berbère : soupe à base de semoule d’orge, la Tchicha Berbère est cuisinée avec des tomates, des oignons et relevée d’huile d’olive et de menthe sauvage. Elle est consommée dans les montagnes du Haut Atlas, particulièrement en hiver quand il fait très froid et proposée aux femmes nouvellement accouchées pour leur apport nutritif et énergétique.

La Chorba aux pigeons et aux noix : L’histoire de ce mets de luxe remonte au temps du Pacha Thami El Glaoui, seigneur de l’Atlas. La légende raconte que la table de cette dynastie devait chaque jour être garnie d’un plat qui sort de l’ordinaire. La Chorba aux pigeons et aux noix est une soupe très raffinée et extrêmement riche.

Baddaz : Couscous de maïs roulé à la main, ce plat traditionnel marocain originaire d’Ouarzazate s’accompagne de légumes et de gueddid (lamelles de viande de mouton salées et séchées au soleil) ou de Kordas (morceaux de panse de mouton farcis de lanières de cœur, de foie, de poumons cuits à la vapeur puis séchés au soleil). Baddaz peut aussi être accompagné de figues vertes.

LA GASTRONOMIE MAROCAINE DE LA COTE ATLANTIQUE

Ainsi les plats servis à Essaouira rappellent les zones du Maroc. Et, avec le temps, la cuisine servie a pu développer son propre style : un mélange entre souvenirs de cuisine citadine, berbère et juive. Le tajine souiri mélange la saveur berbère par l’utilisation de l’huile d’argan, des épices importées de ces pays de rives et l’assaisonnement par la femme experte. Le couscous servi dans la famille souirie reste une représentation de ceux issus de régions différentes du Royaume : aux légumes mais aussi sucré c’est-à-dire avec du raisin et de l’oignon caramélisés.

Les poissons sont bien entendus à la carte souvent grillés et avec de l’huile d’argan, notamment dans la région d’Essaouira comme à Sidi Kaouki, au restaurant #sidiKaoukisurfstation

 

Le poisson peut donc être préparé de différentes manières : grillades au port, fritures (différents poissons), tajine notamment les boulettes de sardines et congre à la sauce sucrée (une spécialité de la ville).

N’oublions pas le couscous de poissons qui fait partie de nombreuses cartes : vous y trouverez principalement de la daurade ou de la sole, accompagnée bien entendu de semoule et de légumes, comme chez #Kherfa à Essaouira, qui propose également de magnifiques plateaux de poissons mixtes grillés

N’oublions pas qu’Essaouira est le troisième port sardinier du Maroc. Pas étonnant dans ce contexte de les retrouver dans nos assiettes et tout particulièrement dans les tajines ! Au restaurant #lesarts, ils proposent une recette originale souirie de tajine de boulettes de sardines. Accompagnées de légumes, citron confit et olives. Excellent ! Voici les autres plats proposés dans une ambiance de musique live

La province d’Essaouira est connue par l’importance de son élevage caprin, dont les effectifs sont évalués à plus de 350.000 têtes, et surtout par la qualité de la viande, étant donné que cet élevage évolue dans des parcours forestiers, constitués d’arganiers. L’élevage de chèvres est un véritable levier pour le développement durable local et solidaire.

La province d’Essaouira recèle des potentialités mellifères importantes, certaines zones (Aït Daoud et le cercle de Tamanar) sont réputées depuis très longtemps pour leurs traditions apicoles et la qualité de leur miel, ce qui incite de nombreux apiculteurs de divers lieux du Royaume à faire la transhumance de leurs ruches vers ces zones lors des compagnes favorables.

Les types de miels produits sont fabriqués à partir de différentes fleurs comme le fleurs, le thym (Tazouknite), le charbon (Tasnante), l’argan, le thuya (Arâare), le caroubier (Kharoube), le fenouil (Annis) et l’agave (Sabra).

A Oualidia, la grande spécialité est l’huître et bien entendu tous les poissons et crustacés qui vivent ici au bord du littoral Ce lieu qui vit au rythme des marées voit venir les Marocains de tout le pays pour les déguster et se ravitailler chez les nombreux ostréiculteurs implantés sur les berges de la lagune.

On y produit plus de 250 tonnes d’huîtres par an et, bien sûr, on en trouve partout sur place. On en vend même sur la plage !

Pour en savoir plus sur leur élevage, ne manquez pas de visiter les parcs ostréicoles datant des années 1950. C’est la deuxième attraction touristique locale incontournable.

Cette station balnéaire est la destination idéale pour les amateurs de fruits de mer comme les huîtres mais aussi de crustacés comme les araignées, les homards et les langoustes et des coquillages, vernis, clams, palourdes et coques.

Les plateaux de fruits de mer, comme au @restaurantaucalme à Oualidia, sont servis avec une sauce « femelle » : composée de corail , d’oursins frais, de tomates et d’ail servie tiède ; un régal

Souvent comme au restaurant #laraigneegourmande à Oualidia, des solettes et éperlans vous seront proposés frits, en entrée, dans le cadre de menus de poissons. Une belle adresse par ailleurs, offrant un superbe point de vue sur la lagune

Vous pouvez aussi vous laisser tenter par un poisson farci avec du riz safrané cuit à la vapeur, puis mélangé avec des raisins secs et des amandes concassées.

En tout état de cause, ne partez pas sans déjeuner à #Ostréa et visiter leurs ateliers (détail sur notre post OUALIDIA « La Perle bleue » (voyageavecnous.com)

Le restaurant de la ferme ostréicole propose de nombreux délicieux plats outre les huîtres : tartare de homard au guacamole, acras façon antillaise, espadon facon tajine en chermoula, linguine au saumon ou émincé de volaille à la crème

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