TIRANA ALBANIE

Ce qui est sidérant dans cette première approche de TIRANA, c’est la diversité architecturale : des bâtiments modernes et futuristes, côtoient des mosquées pluri-centenaires , des monuments à la gloire de l’ex Union soviétique, des traces fascistes, et des zones vertes naturelles.
Tandis que quelques autochtones s’installent pour jouer aux dominos et que les têtes de chèvre rôtissent dans l’attente d’un amateur …
LIENS VERS LES PHOTOS DE TIRANA
TIRANA – CITY TRIP DEFI – ALBANIE
J-61 – L’ALBANIE AUTHENTIQUE – CONCLUSION
VISITE DE TIRANA
MOSQUÉE DE MAHMUD AGHA KOKONOZI

en albanais : #Xhamia e #Mahmut Agë Kokonozit) ou mosquée du Nouveau Bazar (en albanais : Xhamia e Pazarit të Ri)
Une mosquée ottomane de 1750 qui a survécu à l’ère communiste, cachée au milieu de bâtiments à deux pas du bazar. Il faut faire le tour du pâté de maisons, emprunter une ruelle pour y accéder
En 1966, la mosquée #Kokonozi a été transformée en entrepôt alimentaire, puis utilisée comme magasin de tabac.
PAZARI I RI
Le marché, qui n’a certainement plus rien à voir avec son illustre ancètre ressemble plus à une halle couverte. On y propose une variété de fruits frais, de légumes cultivés localement, de poisson et de viande, de vin et de raki.
C’est l’endroit des restaurants, des boulangeries, des boucheries où rôtissent les têtes de chèvre et les poulets, dans des bâtisses anciennes et colorées.

UNKNOW PARTISAN MONUMENT

La statue réaliste socialiste du partisan inconnu, juste à côté de Sheshi #Skënderbej, semble pointer ses armes sur le bâtiment du #Parlement (1924)
C’est le lieu de rencontre des artisans qui cherchent un travail à la journée, armés de leurs outils, marteaux piqueurs et autres
TOMBEAU DE KAPLLAN PACHA

Le tombeau de #Kapllan#Pacha, gouverneur de Tirana, fait partie du complexe de tombes monumentales de la première mosquée de Tirana, détruite pendant la seconde guerre mondiale. Kapllan est mort en 1819, empoisonné par sa fille dont il voulait assassiner le fiancé.
Ce complexe comptait également six autres tombes du même type mais plus petites, au plan octogonal, composé de huit colonnes classiques reliées entre elles par des arcs , construit en pierres sculptées
Dans l’une des colonnes est gravée une inscription qui parle de Kapllan Toptan et qui est aujourd’hui illisible sauf pour la date 1326 (selon le calendrier musulman).
Ce qui est frappant c’est de voir un tel bijou historique carrément adossé à une tour moderne qui semble avoir été façonnée pour laisser une niche à cet tombe…
STATUE DE SKANDERBERG ET PLACE SKANDERBERG

La place #Skënderbej est la plus peuplée de Tirana : située au cœur même de la ville c’est le lieu de rendez-vous des habitants en quête d’air frais
Cette place a été conçue par trois architectes italiens et a abouti à une forme circulaire et avec une fontaine circulaire au milieu.
Cette place était entourée de constructions traditionnelles: #VieuxBazar, #TourdelHorloge, Mosquée #EthemBey, Église évangélique (qui a ensuite été démolie).
Il existe également de nombreuses institutions et toute sorte d’édifices : de vieux bâtiments d’époque ottomane, des bâtiments hétéroclites, associant des immeubles fascistes ainsi que des constructions modernes, reflétant l’esthétisme soviétique. En vous promenant sur la place Skanderbeg, vous remarquerez la statue de Skanderbeg, entre autres, et le palais de la culture.
Conçue par le célèbre sculpteur albanais Odhise Paskali, en collaboration avec Andrea Mano et Janaq Paço, cette statue en bronze de 11 m de hauteur fut inaugurée en 1968 pour célébrer le 500e anniversaire de la mort de Skanderbeg.
La statue de Skanderbeg à la silhouette volontaire, le drapeau albanais qui l’avoisine, la mosquée, la tour de l’horloge et les montagnes qui occupent l’horizon constituent sans nul doute la plus belle carte postale de la ville.
La place Skanderbeg est un espace dédié uniquement aux piétons. Pavé d’un tapis de pierres de toutes les terres albanaises et de toutes les provinces d’Albanie, sur lequel coule, les jours ensoleillés, l’eau de pluie recueillie à l’intérieur. La verdure est représentée par des variétés d’arbres et de plantes de toute l’Albanie.
MOSQUEE ET’HEM BEY

Elle constitue l’un des rares vestiges du passé ottoman de la capitale. Son statut de » monument culturel » lui valut d’être épargnée pendant la campagne athéiste du régime communiste.
La mosquée se compose d’une salle de prière, d’un portique au nord et à l’est et d’un minaret. La mosquée se dresse sur des fondations carrées d’une longueur et d’une largeur de 18,70 x 16,10 m et occupe une superficie de 301 m2. Aucune des quatre façades de la mosquée ne se ressemble.
La salle de prière a un plan carré et est construite avec un volume unique recouvert d’une coupole en feuille de plomb. Le portique de la mosquée Et’hem Bey dans l’aspect fonctionnel a servi à créer un environnement avec un deuxième mihrab dans lequel ceux qui sont venus plus tard ou n’ont pas trouvé de place dans la salle de prière pouvaient prier.

Le sanctuaire dispose de 18 fenêtres sur deux rangées horizontales, qui en grand nombre lui donnent une lumière limitée pour créer un environnement Le portique a la forme de la lettre «L» en plan, tandis que du sud il se ferme par un mur. De l’autre côté, il est ouvert avec trois arcades au-dessus des colonnes, qui, au contact des murs, sont des demi-colonnes. Le portique est couvert par un toit avec une construction en bois et un plafond en planches plates.

Les murs extérieurs sont richement décorés de peintures représentant des paysages idylliques symbolisant des chutes d’eau, des arbres ainsi que diverses scènes de nature morte.
Ces motifs, extrêmement rares dans l’art islamique, révèlent une influence du bektashime, confrérie à laquelle Et’hem Pacha a consacré plusieurs poèmes.
Il ne faut surtout pas hésiter à pénétrer dans la salle de prière, elle aussi magnifiquement décorée de peintures qui remontent jusque sous le dôme.
Les femmes pourront monter au petit balcon, qui leur est réservé, pour admirer les peintures de plus près. La salle de prière est précédée d’un délicat portique, composé de quatorze arches cintrées, placées sur quinze colonnes. Le minaret, effilé, est typique du style ottoman. Endommagé pendant la Seconde Guerre mondiale, il a été restauré quelques années plus tard.
À gauche et à droite de la porte principale se trouvaient deux tombes. Le tombeau de droite appartient à Balkiz, la fille de Sali Pacha et l’épouse de Haji Et’hem Bey, décédé en 1260 AH (1844), la pierre tombale est encore aujourd’hui. Le tombeau de gauche appartient à Hajji Et’hem Bey, la date de sa mort est écrite 1265 AH (1849) mais les pierres tombales sont manquantes.
Cette mosquée fait partie des bâtiments qui composent le centre historique de Tirana et forme un complexe architectural avec la tour de l’horloge. La mosquée Et’hem Bey a été déclarée monument culturel de première catégorie en 1948.
Nous regretterons toutefois que ce magnifique monument là encore soit étouffé parmi les tours modernes donc beaucoup sont en construction ou rénovation
TOUR DE L’HORLOGE

Cette magnifique tour carrée était, à l’origine, dotée d’une horloge importée de Venise qui sonnait chaque heure.
Elle abrite un petit musée de l’Horlogerie (visite sur demande) et offre une très belle vue sur la ville, hélas gâchée par de plus en plus de buildings, comme la tour Kaceli, située juste derrière.
#BUNKART2

Ce musée est installé dans les locaux de l’ancien abri antiatomique du ministère de l’Intérieur.
Le tunnel du ministère de l’Intérieur a été construit entre 1981 et 1986 et peut être considéré comme l’un des derniers « travaux majeurs » effectués par le régime communiste.
Ce bunker dans le code de l’époque appelé #PillarObject se compose de 24 pièces, d’un appartement réservé au ministre de l’Intérieur et d’une grande salle dédiée à l’interconnexion. Comme beaucoup d’autres bunkers de cette taille, il est également construit pour faire face à une attaque chimique et nucléaire potentielle.
ÉGLISE ORTHODOXE DE LA RESURRECTION DU CHRIST

Inaugurée en juin 2012, dans la partie sud-ouest du centre de Tirana, c’est la troisième plus grande cathédrale #orthodoxe d’Europe et sans aucun doute la plus tape-à-l’oeil.
De style architectural indéterminé (de nuit, on se croirait à Las Vegas), elle ne cesse de provoquer la polémique du fait de son coût jugé excessif dans un des pays les plus pauvres d’Europe.
L’ambition de ce faramineux projet piloté par un cabinet d’architectes new-yorkais était de faire renaître de ses cendres l’ancienne cathédrale orthodoxe de Tirana construite en 1865. Celle-ci fut fermée au culte en 1967, puis détruite pour ériger l’hôtel Tirana International. Financée à grands frais par des dons de la diaspora et de l’Église orthodoxe grecque, la nouvelle cathédrale se veut un symbole du retour à la liberté de culte.

Le complexe de la cathédrale comprend les structures suivantes: cathédrale, église de la Nativité, cloche, résidence du Saint-Synode, culture Centre, librairie, et un petit musée.
De forme circulaire, elle est surmontée d’un immense dôme de 26 m de diamètre atteignant 23 m de hauteur et d’un clocher de 46 m de hauteur qui dépasse de 11 m la tour de l’horloge ottomane, située de l’autre côté de la place. Elle est elle-même dorénavant dominée par la #EverGreenTower (85 m de hauteur) située juste en face.
À l’intérieur, le dôme est recouvert d’une mosaïque géante du Christ. On y trouve aussi un petit musée, une salle de conférence et une bibliothèque.
La cathédrale est le siège de l’archevêché de Tirana et de l’ensemble de l’Église orthodoxe d’Albanie dirigée par l’archevêque grec Anastase (né en 1929) et compte six métropoles (diocèses) : Tirana-Durrës-Elbasan, Berat-Kanina, Gjirokastra, Korça, Apollonia (Fier) et Kruja.
MUSÉE DE LA SURVEILLANCE SECRÈTE
Construite en 1931, cette maison avait à l’origine la fonction d’une clinique obstétrique, à l’initiative et sous la direction du célèbre médecin albanais Dr Jani Basho (1892-1957). Pendant la Seconde Guerre mondiale, sous l’occupation allemande, le bâtiment était sous le contrôle de la Gestapo.

Dans les années d’après-guerre, cette maison a été utilisée comme centre d’enquête, et lieu de torture jusqu’en 1948 lorsque l’Albanie a rompu ses liens avec la Yougoslavie.
À partir des années 1950, les fonctions des bâtiments ont changé pour devenir la branche technologico-scientifique de la Sûreté de l’État, principalement connue pour son utilisation d’interceptions électroniques pour contrôler les téléphones et le système d’affranchissement des étrangers jusqu’à ce que la Sûreté de l’État s’effondre en 1991.
La Sûreté de l’État, également connue sous le nom de police secrète, a été utilisée pour opprimer la population et éliminer les factions et l’opposition au sein du parti communiste. Il a été utilisé pour maintenir le régime totalitaire. Aujourd’hui le bâtiment abrite un musée relatif à ce passé sulfureux
FORTERESSE DE JUSTINIEN

La forteresse de #Justinien (#Kalaja e Justinianit) date de l’époque #byzantine. La forteresse est l’endroit où les principales routes se croisaient et formaient le cœur de Tirana.
Il ne reste aujourd’hui qu’un mur de 6 mètres de haut datant de l’époque ottomane. L’intérieur a été savamment réhabilité et acceuille un grand nombre de boutiques et de restaurants
Le château de Tirana a été déclaré monument culturel de première catégorie le 10 juin 1973 et les nouvelles pistes des murs du château de Tirana ont été déclarées monument culturel le 15 mai 2008.
INDEPENDANCE MONUMENT

Le monument placé dans le parc #Rinia à côté du boulevard central de la capitale a été inauguré le 28ième Novembre 2012 comme symbole du siècle d’indépendance de l’Albanie.
Le monument, d’une hauteur d’environ 6,5 mètres, d’une largeur de 5,5 mètres et d’un poids de 15 tonnes, a été créé par les artistes Visar #Obrija et Kai #Kiklas en Autriche.
Ce monument est un symbole de la résistance de la nation albanaise dans les moments difficiles et les guerres.
Il a la forme d’une tour ouverte, symbolisant l’ouverture de l’Albanie vers l’indépendance. « Il représente deux formes qui, ensemble, forment une tour ronde et en plein air. Une partie est le plafond, et l’autre le sol. Si vous vous réunissez, ils créent une tour rectangulaire. En regardant la première partie, le visiteur a l’impression de répression, d’isolement du peuple albanais, tandis que la seconde fait écho à la liberté et à l’indépendance », explique l’artiste Obrija.
Ce symbole est aussi une gratitude envers tous ces héros qui se sont battus pour l’indépendance albanaise.
REJA – LE NUAGE

PLACE MÈRE TERESA

Il était une fois, dans la partie orientale de la place, une statue d’elle, mais de nos jours, elle a été enlevée. Aujourd’hui, la place #MereTeresa est utilisée pour des activités ouvertes ainsi que pour des spectacles en direct.
Cette place située au bout du boulevard « #Dëshmorët e #Kombit« , dans la partie sud de Tirana, a été conçue par l’architecte italien Gherardo Bosio en 1939-41.
Bosio a conçu le boulevard impérial (aujourd’hui boulevard « Dëshmorët e Kombit » qui s’est terminé en la place « Piazza Littorio » aujourd’hui la place « Mère Teresa » en son honneur.
Les bâtiments entourant cette place avaient diverses fonctions administratives voulant se résumer en un ensemble politique et sportif.
Tels étaient: « Casa della Gioventtu Littoria Albanese » (GLA) – est aujourd’hui le Rectorat de l’Université de Tirana et le Musée Archéologique. GLA est un bâtiment complexe. Il est composé en forme de « U », ce qui donne la possibilité d’en organiser les deux côtés. En face se trouvait la « Casa del Opera del Dopolavoro Albanese » (ODA) – aujourd’hui l’Université des Arts et au centre se trouvait la « Casa del Fascio » ou « Palazzo Littorio » – aujourd’hui l’Université Polytechnique.
LE GRAND PARC DE TIRANA

Le Grand Parc de Tirana –#Parku i #Madh i Tiranës a une superficie de 289 hectares
Le parc comprend un lac artificiel et de nombreux monuments tels que le palais présidentiel et des monuments commémoratifs à plusieurs personnalités albanaises.
Il reste l’un des endroits les plus relaxants de la ville, malgré l’augmentation des bâtiments en cours de développement près du parc, une course ou une promenade tôt le matin est une routine quotidienne pour de nombreux citoyens.
Il existe près de 120 espèces d’arbres, d’arbustes et de fleurs. La superficie du jardin botanique est de 14,5 hectares et la taille du lac est de 55 hectares.
CIMETIÈRE DES MARTYRS DE LA NATION

Statue de Mère Albanie (Monumenti #Nëna#Shqipëri) – Dominant le site, cette grande sculpture en béton de 12 m de hauteur a été réalisée par #Kristaq#Rama (1932-1998), père d’Edi Rama, élu Premier ministre en 2012 ; elle veille sur les tombes des morts à l’aide d’un coupe-vent.
Inaugurée en 1971, elle se veut une allégorie de la Nation.

» Mère Albanie » tend de la main droite, levée, une branche de laurier surmontée d’une étoile communiste et, de l’autre, fait un geste d’apaisement.
Le socle porte la mention Lavdi e perjetshme deshmoreve te Atdheut ( » Gloire éternelle aux martyrs de la Nation « ).
À gauche de la statue a été récemment installé un monument aux Victimes de la terreur communiste (Viktimat e terrorit komunist). Il rend hommage à 22 monarchistes tués en 1951 après une tentative d’attentat contre l’ambassade d’URSS.
À droite, se trouve la tombe de marbre blanc du héros du peuple Qemal Stafa, cofondateur du parti communiste albanais en novembre 1941. Il fut tué à Tirana par les Italiens en mai 1942 à l’âge de 22 ans, sans doute dénoncé par son camarade Enver Hoxha qui voyait en lui un rival.
GRANDE MOSQUÉE DE TIRANA

PONT DES TANNEURS

Il ne fut pas hésiter à l’emprunter plutôt que le pont moderne juste à côté, pour le plaisir de sentir sous pieds les pierres et sa courbe.
Ce minuscule ouvrage d’art en pierre du XVIIIe s, faisait partie de la route par laquelle les produits et le bétail entraient dans la ville de Tirana, route de St-Georges (rruga e #Shëngjergjit) qui reliait Tirana à Debar (Dibër), 155 km au nord-ouest, en passant par Shëngjergj., un des rares vestiges de la période ottomane à Tirana.
Le pont de #Tabakëve se distingue par son architecture harmonieuse, ainsi que par la répartition proportionnelle de ses éléments Long de 8 m et large de 2,5 m construit avec des pierres de rivière placées, il repose sur deux piliers reliés par trois arches, dont la plus grande mesure 2,5 m de longueur. Il fut utilisé jusque dans les années 1930, puis abandonné lorsque le cours de la Lana fut détourné. Il a été restauré en deux étapes en 1992 et 2004.
Il est depuis réservé aux piétons.
MOSQUEE DES TANNEURS – (LA MOSQUÉE DE TABAKA) RUE SHYQYRI ISHMI,

Située entre deux bâtiments modernes colorés, près du pont de Tabakëve , cette mosquée à l’architecture ottomane, l’une des plus belles de Tirana, fut érigée XVIIe s. par la guilde des tanneurs et bouchers de la ville.
Du fait de l’odeur désagréable collant à la peau de ces artisans, il était courant dans les villes ottomanes que les bouchers et en particulier les tanneurs possèdent leur propre lieu de culte, à l’écart des autres mosquées.
Détruite par la foudre en 1927, la mosquée des Tanneurs fut reconstruite en 1933, puis fermée en 1976 pour servir d’entrepôt. Rouverte en 1990, elle a été alors dotée d’un haut minaret dans sa partie sud-ouest. Les minarets élancés et la couleur blanche distinctive de la mosquée la distinguent de loin.
PYRAMIDE (#PIRAMIDA)
La #Pyramide de Tirana n’est probablement pas l’un des points les plus attrayants de la ville, mais c’est en passe de changer. Un grand projet de rénovation a débuté et devrait permettre de faire de ce batiment l’un des atouts de la ville

Inauguré en 1988, ce monument en forme de pyramide porte le nom officiel de Centre international culturel Arbnori (#Qendra#Ndërkombëtare e Kulturës Arbnori) en hommage au » Mandela des Balkans » Pjetër Arbnori (1935-2006), écrivain et opposant au régime communiste qui fut détenu pendant vingt-huit ans dans la terrible prison de Burrel (région de Mat, dans le centre du pays).
En 1991, à la chute du régime, ce vaste bâtiment de 17 000 m2, surnommé » le Mausolée d’Enver Hoxha » et plus souvent » la Pyramide « , a été transformé en centre culturel et salle de conférence, puis en base logistique pour les ONG accueillant les réfugiés de la guerre du Kosovo (1999) et en boîte de nuit.
Depuis 2001, il est utilisé par la première chaîne de télévision du pays Top Channel. Les techniciens de la chaîne affirment d’ailleurs qu’une main du dictateur, en partie visible, a été coulée dans le béton d’un des piliers de l’édifice.
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